20 Septembre 2007
La lettre de Toulouse se devait de vous signaler que, contrairement aux apparences, toute vie culturelle Toulousaine et de la région Midi-Pyrénées n’était pas arrêtée pendant la Coupe du Monde de Rugby. Même si cet évènement mondial semble actuellement occulter le projet de Toulouse 2013 au lieu de mettre en lumière cette Capitale Artistique et Culturelle qu’est depuis des siècles Toulouse.
Heureusement, la vénérable Académie du Languedoc, où siègent (ou vont siéger) tous les grands noms nés sur les terres languedociennes, s’apprête à délivrer le Grand Prix Littéraire de la Ville de Toulouse, le lundi 24 septembre 2007 à 17 heures.
Attention ! Contrairement aux idées reçues, le quart d’heure toulousain n’y est pas de mise et le ra du tambour ouvrant la Séance Solennelle de cette Académie retentira bien à 17h..0..0 !
Ceci en un lieu qui était à l’évidence tout trouvé puisque ce sera en la Salle des Illustres du Capitole.
Le Blogmestre ne veut pas ici vendre la mèche et rompre le charme en indiquant qui sera le Lauréat, mais il est question, semble-t-il, d’une nouvelle histoire d’une Capitale languedocienne bien connue du pays de cocagne et de l’Ovalie réunis qui serait publiée chez un éditeur privé non moins connu en cette place et bien au-delà.
A cette occasion, deux nouveaux académiciens seront installés : l’un Archiviste-Paléographe siègera au 20° fauteuil, l’autre succédera au regretté Secrétaire Général André GASTOU en siégeant au 47° fauteuil.
Les Blogonautes découvriront peut-être l’existence de cette entité à l’occasion de ce modeste billet, car celle-ci n’a toujours pas de
site internet. Une erreur en ce troisième millénaire, où pour exister, il faut avoir une vitrine sur cet espace virtuel.
Par chance, les récipiendaires sont tous bien heureux de recevoir ses prix, ils n’oublient pas d’en parler sur leurs sites respectifs. Ainsi l’Académie du
Languedoc est bien présente sur la Toile par son ombre portée.
Pour toute question relative à cette Académie, n’hésitez pas à nous contacter. Nous y répondrons ou nous les transmettrons à qui de droit au cas (exceptionnel) où nous ne pourrions y répondre.